Thursday, August 09, 2018

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Tuesday, December 05, 2006

FRÃO FRANCÊSFORMAÇÃO
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http://francesformacao.blogspot.com
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ÍNDICE
Madame Bovary MADRY ATÉ AO FIM DA PARTE 3
SÉGOLÈNE
►04MA2005
FRANÇAIS→►Interview de Traian Basescu, président de la Roumanie
Depuis son élection en décembre dernier à la tête de la Roumanie, Traian Basescu n'a qu'une seule obsession : l'adhésion de son pays à l'Europe le 1er janvier 2007. Un rêve sur le point de devenir réalité, mais Traian Basescu sait que son pays doit rester très prudent à cause de la clause de sauvegarde introduite par l'Union Européenne dans les conditions d'adhésion. Une équipe d'EuroNews a rencontré Traian Basescu à Bucarest. Il parle de la future adhésion et de ses réformes politiques en cours.EuroNews : Que pensez vous de la clause de sauvegarde introduite par l'Union Européenne. Est-ce un manque de confiance envers la Roumanie ?Traian Basescu : Et bien... soyons honnête. Les uropéens ont eu raison d'introduire cette clause car historiquement parlant la Roumanie a l'habitude de s'engager mais de ne pas tenir ses promesses. Alors je comprends très bien que les Etats-membres ont besoin d'être rassurés pour l'adhésion de la Roumanie et de la Bulgarie. Si nous respectons toutes les conditions de la clause, alors la Roumanie deviendra un pays plus performant.EuroNews : La Roumanie a promulgué une importante loi contre la corruption. Pensez-vous que cette loi fonctionne ?Traian Basescu : Le point clef n'est pas la loi que nous avons approuvée et que nous commençons à mettre en application. Le plus important pour la justice roumaine est son indépendance. Une justice qui ne doit pas être contrôlée par les politiciens. Je peux vous garantir que sur mes quatre premiers mois de mandats, hebdomadairement et parfois quotidiennement j'ai publiquement demandé aux institutions d'Etat d'agir suivant la loi et non suivant le bon vouloir des politiques. En tant que président roumain je ne suis pas intéressé par les petits poissons. Ces petits poissons peuvent être attrapés par n'importe quel procureur, policier, n'importe qu'elle personne chargée de combattre la corruption. Mon objectif en tant que président est de nettoyer la classe politique des requins, les gros requins.EuroNews : A qui pensez-vous lorsque vous parlez de gros requins ?Traian Basescu : Parmi les 300 plus riches personnes de Roumanie existent de nombreux gros requins de l'économie. Nous devons nous attaquer à eux. Si vous lisez les journaux ces jours-ci, vous verrez qu'une partie d'entre eux est déjà en prison. Et nous allons continuer. Nous allons tout d'abord repérer les politiciens qui les soutiennent et qui leur permettent de réaliser de telles fraudes. Et je n'interromprai pas le processus. Je l'encouragerai toujours.EuroNews : Pensez-vous que les personnes en charge des poursuites contre la corruption font du bon travail ?Traian Basescu : Ils me présentent quelques petits cas de fonctionnaires qui ont reçu 500 euros, ou des docteurs qui perçoivent des bonus... je ne sais pas... des d'officier du ministère de la défense qui ont je ne sais quel petits arrangements... Des petits cas. Je discute avec eux et je les conseille. Lors de la dernière réunion il y a quelques jours je leur ai dit qu'ils devaient s'attaquer aux grosses affaires.EuroNews : De votre point de vue, quel rôle peuvent jouer les Etats-Unis en Europe ?Traian Basescu : Il est clair que les Etats-Unis semblent plus interessés que les Européens par l'instabilité en mer Noire. J'ai discuté avec des politiciens européens. Je les ai invités à regarder la situation de la mer Noire. On a parlé de trafic de drogue, de personnes de ces régions qui partent dans des pays d'Europe de l'ouest. On a parlé de trafic d'armes qui part vers les Balkans, le Proche-Orient, l'Afghanistan, l'Irak. Nous devons continuer à conseiller nos amis de l'Union européenne car tôt ou tard nous aurons tous un problème avec la mer Noire. Bien sûr les Américains sont plus réactifs. Ils ont déjà compris l'importance de la Mer Noire pour la sécurité de l'Europe et je suis convaincu que tôt ou tard, tout le monde portera son attention sur la mer Noire et selon moi la solution est d'internationaliser ces eaux comme le sont actuellement les eaux de la mer Méditerranée.


FRANÇAIS→►Presidente da Roménia alerta para perigo de segurança no Mar Negro
Desde a sua eleição como Presidente da Roménia, em Dezembro, que Traian Basescu possui um grande objectivo: a adesão do seu país à União Europeia em Janeiro de 2007. Um sonho que ainda não se tornou real, mas Basescu sabe que a Roménia tem de ter muito cuidado devido à cláusula de salvaguarda que Bruxelas estabeleceu. Uma Equipa da EuroNews entrevistou-o em Bucareste e o processo de adesão e a sua política de reformas foram alguns dos temas.EuroNews: O que é que acha da cláusula de salvaguarda adoptada pela União Europeia. Pensa que existe uma certa falta de confiança em relação à Roménia?Traian Basescu: Bom, vamos ser honestos. Os europeus tiveram razão em introduzirem esta cláusula, porque a Roménia tem um historial de assumir compromissos e não os cumprir. Ao mesmo tempo compreendi muito bem que as populações dos países europeus precisam de ser protegidas da adesão da Roménia e da Bulgária. Se alcançarmos todas as metas definidas nesta cláusula, a Roménia será um país realizado.EuroNews: A Roménia criou importante legislação contra a corrupção. Pensa que ela vai funcionar?Traian Basescu: O centro da questão não é apenas a acção no terreno que aprovámos e começámos a implementar. O ponto fulcral tem a ver com a justiça, ou seja, a independência de uma justiça que não pode estar controlada pelos políticos. Posso garantir que, semanalmente e por vezes diariamente, nos meus primeiros 4 meses de mandato, peço publicamente às instituições estatais para actuarem em sintonia com a lei e não de acordo com influências políticas. Como Presidente da Roménia não estou interessado nos peixes miúdos. Os peixes miúdos têm que ser capturados por procuradores, policias ou outra pessoa que desempenhe as funções de lutar contra a corrupção. O meu objectivo como Presidente é limpar a classe política dos tubarões, os grandes tubarões.EuroNews: Quando fala em grandes tubarões, a quem é que se refere?Traian Basescu: Alguns dos 300 homens mais ricos da Roménia são de facto os maiores tubarões da nossa economia e por isso temos que atacá-los. Se reparar nos jornais, hoje em dia, irá perceber que alguns deles já estão presos. Nós vamos prosseguir. Em primeiro lugar, vamos continuar a detectar políticos que os apoiam em grandes fraudes. Não vou parar... irei sempre encorajar o processo.EuroNews: Pensa que todos os procuradores encarregados de combater a corrupção estão a trabalhar bem?Traian Basescu: Eles apresentam pequenos casos onde estão envolvidos funcionários públicos que recebem 500 euros ou doutores que obtém presentes de pessoas... com funcionários do Ministério da Defesa... não sei como funcionam, pequenos casos. Eu discuto com eles, como na reunião de há dois dias e aconselho-os a darem atenção aos grandes casos.EuroNews: Na sua perspectiva qual é o papel mais importante que os Estados Unidos podem desempenhar na Europa?Traian Basescu: É notório que os Estados Unidos preocupam-se mais com a instabilidade no Mar Negro do que a União Europeia. Discuto com os políticos europeus, convido-os a olharem a situação no Mar Negro, seja do ponto de vista do narcotráfico, do tráfico humano para países da Europa ocidental ou mesmo do comércio legal de armamento, cujo destino são países dos Balcãs e do Médio Oriente, como Afeganistão ou Iraque. Temos que continuar a alertar os nossos amigos da União Europeia que, mais cedo ou mais tarde, todos vamos ter problemas no Mar Negro. Claro que os americanos reagem mais. Eles já perceberam a importância do Mar Negro para a segurança na Europa e estou convencido que em breve todos vão dar a devida atenção. Na minha opinião é preciso internacionalizar o Mar Negro como já acontece com o Mar Mediterrâneo.
MADRY
Madame Bovary de Gustave Flaubert
il testo integrale online di madame bovary
Résumé du roman
Quelques jugements sur l'oeuvre de Gustave Flaubert
Extraits de la correspondance de Gustave Flaubert
Le texte Intégral de Madame Bovary sur le serveur de l'ABU
Quelques citations de madame Bovary
Le site de JB Guinot sur Flaubert : sa vie, son oeuvre, ses voyages, ses amis, ses amours , le texte intégral de certains de ses romans ... Une véritable mine d'or.
Marcel Proust évoque Flaubert
Madame Bovary by Gustave Flaubert (english version)
Résumé du roman

Première Partie

"Nous étions à l'Etude, quand le Proviseur entra suivi d'un nouveau habillé en bourgeois et d'un garçon de classe qui portait un grand pupitre. Ceux qui dormaient se réveillèrent, et chacun se leva comme surpris dans son travail".
Ainsi débute Madame Bovary : Ce nouvel élève, âgé d'une quinzaine d'années, qui entre en 5ème au Collège de Rouen n'est autre que Charles Bovary. Il a l'air un peu ridicule, ce "gars de la campagne". Son attitude un peu gauche déchaîne le rire de ses camarades. Il arrive d'un village situé entre le pays de Caux et la Normandie où ses parents, qui ne s'entendent pas, se sont retirés. Son père est un médiocre qui a accumulé de nombreux échecs. Sa mère, frustrée et aigrie, a reporté tous ses espoirs sur ce fils qu'elle a couvé.
Charles Bovary s'installe à Tostes et épouse sous l'influence de sa mère une veuve de quarante-cinq ans, riche, laide et tyrannique, Mme Dubuc. Elle aime Charles avec passion mais exerce à son égard une surveillance despotique. Le jeune Charles connaît ainsi une vie de couple qui ressemble à un cauchemar.
Une nuit d'hiver, Charles se rend à la ferme des Bertaux. Le père Rouault, son propriétaire, "un cultivateur des plus aisés" vient de se casser la jambe. Charles soigne le maître des lieux et est sensible au charme d'Emma, sa fille. Les jours suivants, il revient aux Bertaux, jusqu'à ce que son épouse, jalouse, lui interdise d'y retourner. Au début du printemps, le notaire de Mme Bovary commet une malversation qui laisse cette dernière à demi ruinée. Elle meurt brusquement une semaine plus tard.
Peu après, sur l'invitation du père Rouault, Charles retourne aux Bertaux. Il revoit Emma. Il est amoureux de la jeune fille, mais n'ose se déclarer. "À l'époque de la Saint Michel" il se décide à la demander en mariage. La noce est fixée au printemps suivant, l'hiver sera occupé par les préparatifs. Emma rêvait de "se marier à minuit, aux flambeaux". La noce, campagnarde, sera beaucoup moins féerique. Charles ne brille guère durant la noce, ne répondant que médiocrement aux calembours ou compliments que lui adressent les invités.
Mais le lendemain des noces Charles semble découvrir le bonheur près d'Emma. Il laisse éclater sa joie et se réjouit de trouver en elle une épouse parfaite. Emma commence par apporter des changements dans l'aménagement de la maison et Charles est tout à sa joie de la voir aussi bien conduire son ménage, dessiner, jouer du piano, ou recevoir avec élégance. Mais la jeune femme, elle, est distante. La réalité ne correspond pas à ce qui lui avait paru si beau dans les livres de son enfance. Elle avait tant rêvée de ce mari qui devait lui procurer une vie plus passionnante. Elle souhaitait tant oublier celle monotone, qu'elle avait passée avec son veuf de père, depuis sa sortie du couvent. Or ce mari, tant idéalisé, se révèle bien décevant.
Elevée au couvent, parmi des jeunes filles du monde, Emma y a reçu une parfaite éducation. Elle a lu Paul et Virginie, a rêvé en lisant des romans sentimentaux et historiques, ou des poèmes romantiques. Elle a admiré des gravures représentant de jeunes hommes serrant dans leurs bras des ladies anglaises à boucles blondes. Toute cette éducation a nourri son "tempérament sentimental" et ses songes romanesques.
Aux antipodes de l'homme rêvé, Charles déçoit Emma. Son manque de mystère et de raffinement désappointe la jeune femme. La vie humble et sans surprise qu'il lui offre lasse Emma. Heureusement, une invitation du Marquis d'Andervilliers à un bal au château de la Vaubyessard vient rompre la monotonie de son existence.
Emma, émerveillée, découvre le luxe et l'élégance du monde aristocratique. Ce monde enchanté auquel elle a tant rêvé lui fait oublier un instant ses origines paysannes. Hélas , le rêve est éphémère et le retour à Tostes, silencieux et triste. Dès le lendemain, il lui faut subir les conversations banales de Charles. " Son voyage à la Vaubyessard avait fait un trou dans sa vie, à la manière de ces grandes crevasses qu'un orage, en une seule nuit, creuse quelquefois dans les montagnes". Emma se réfugie dans "le souvenir de ce bal".
Emma rêve devant le " porte-cigares tout bordé de soie verte" que Charles a ramassé sur le chemin du retour. Elle imagine que cet objet appartient au "Vicomte". Emma rêve aussi de Paris et se met à lire Balzac, George Sand et Eugène Sue. Mais à Tostes, l'ennui s'accroît et la jeune femme est de plus en plus irritée par le manque d'ambition et le laisser-aller de son mari. Les saisons se succèdent. Elle vit pourtant dans l'espoir d'une nouvelle invitation, mais en vain. Un an et demi après le bal de la Vaubyessard, sa santé s'altère et Emma laisse tout aller dans son ménage . Charles, qui est resté quatre ans à Tostes, décide alors de déménager et de s'installer à Yonville . Emma est enceinte. Il espère que ce déménagement lui sera bénéfique.
Deuxième Partie
Les époux Bovary arrivent à Yonville. A l'auberge du Lion d'Or. Madame veuve Lefrançois, la maîtresse de l'auberge, prépare le dîner. Il y a là , pour accueillir les Bovary, Monsieur Homais, le pharmacien, le percepteur Binet, et le curé Bournisien. Pendant que Homais et Charles Bovary devisent sur la médecine, Emma sympathise avec Léon Dupuis, clerc de notaire et habitué de l'auberge, qui dîne avec eux. Ils se découvrent des goûts communs. Puis les Bovary s'installent dans leur maison : " C'était la quatrième fois qu'elle ( Emma) couchait dans un endroit inconnu. La première avait été le jour de son entrée au couvent, la seconde celle de son arrivée à Tostes, la troisième à la Vaubyessard, la quatrième était celle-ci ; et chacune s'était trouvée faire dans sa vie comme l'inauguration d'une phase nouvelle." La jeune femme se prend à rêver à des jours meilleurs.
Homais, le pharmacien, se montre, avec les Bovary, le meilleur des voisins. Il essaye, en fait, de s'attirer la sympathie de Charles Bovary, au cas où ce dernier apprendrait qu'il exerce de façon illicite la médecine. Charles, lui, est maussade car la clientèle "n'arrive pas" . Heureusement cette déception professionnelle est compensée par la naissance de sa fille. Emma donne naissance à Berthe. La jeune femme eût préféré un fils. Après le baptême, la petite est mise en nourrice, chez Mme Rollet. Un jour, Léon accompagne Emma et sa fille chez la nourrice. Sur le chemin, Emma et Léon se donnent la main. Cette complicité ne passe pas inaperçue : " Dès le soir, cela fut connu dans Yonville, et madame Tuvache, la femme du maire, déclara devant sa servante que madame Bovary se compromettait" .
La vie, se poursuit, monotone. Emma guette chaque jour, de sa maison, le passage de Léon. Les Bovary sont invités régulièrement, le dimanche, avec Léon, chez Homais, le pharmacien : On y joue au trente et un, et aux dominos. Puis Homais et Bovary s'endorment. Léon et Emma feuillettent alors ensemble L'illustration et goûtent cette "solitude" :" Ils se parlaient à voix basse, et la conversation qu'ils avaient leur semblait plus douce, parce qu'elle n'était pas entendue". Les jeunes gens s'échangent des cadeaux. Léon fait la cour à Emma mais ne se déclare pas . En février, lors d'une promenade dominicale aux environs d'Yonville, en compagnie des Homais et de Léon, Emma prend conscience de la banalité de Charles face au charme du jeune homme. Elle réalise aussi que Léon est amoureux d'elle. Elle décide de ne pas céder à la tentation et s'efforce de rester une maîtresse de maison modèle et une mère irréprochable. Sa maîtrise apparente cache pourtant un douloureux conflit intérieur : amour pour Léon et volonté de rester vertueuse. C'est Charles qui sera le bouc émissaire de ce malheur : elle le méprisait, elle se met à le haïr.
Un soir d'avril, elle entend l'angélus. "Ce tintement répété" rappelle à Emma le souvenir du couvent. La religion peut l'aider , peut-être, à affronter cette crise qu'elle traverse : elle se rend à l'église afin de confier son trouble à Bournisien, le curé. Mais le dialogue entre l'homme d'église et la jeune femme n'est qu'une suite de malentendus. Pour lui, ces souffrances sont purement physiques. Cette incompréhension laisse Emma désemparée. De retour chez elle, Emma repousse sèchement sa fille Berthe, qui tombe et se blesse. Charles, qui rentre pour le dîner, soigne cette blessure sans gravité. La jeune mère , se reprochant son attitude, reste pour veiller sur sa fille endormie. Elle est effrayée de la laideur de son enfant.
Quant à Léon, il désespère de l'inaccessibilité d'Emma et se lasse de cet amour sans espoir. Il décide alors de partir à Paris terminer son droit . Il vient faire ses adieux à Emma. L'émotion est grande mais le jeune homme ne parvient pas à trouver les mots pour l'exprimer. Au cours de la soirée qui suit son départ, Homais évoque les réjouissances de la capitale; il annonce aussi que des Comices agricoles auront lieu cette année à Yonville.
Suite au départ de Léon, Madame Bovary sombre à nouveau dans la mélancolie : " le chagrin s'engouffrait dans son âme avec des hurlements doux, comme fait le vent d'hiver dans les châteaux abandonnés". La visite du sieur Lheureux, marchand de nouveautés, lui donne l'occasion de faire des dépenses déraisonnables. Emma se lance aussi dans des lectures ambitieuses : " Elle voulut apprendre l'italien : elle acheta des dictionnaires, une grammaire, une provision de papier blanc. Elle essaya des lectures sérieuses, de l'histoire et de la philosophie". Charles sombre dans l'inquiétude. Il fait appel à sa mère :"Alors il écrivit à sa mère pour la prier de venir, et ils eurent ensemble de longues conférences au sujet d'Emma". Mme Bovary mère ne trouve guère de solutions miracles. Il faut, selon elle, "empêcher Emma de lire des romans".
Un jour de marché, Rodolphe Boulanger, le nouveau châtelain de la Huchette, rend visite à Charles Bovary, avec un de ses fermiers à qui il faut faire une saignée. Durant l'intervention de l'officier de santé, il regarde Emma et la trouve très jolie. Aristocrate libertin, "de tempérament brutal et d'intelligence perspicace", il devine le fossé qui s'est creusé entre les deux époux, il décèle aussi les frustrations et les rêves inassouvis d'Emma. C'est décidé, lors des prochains comices agricoles, il fera tout pour la séduire.
Le jour des comices est arrivé, tout le village est en fête. Rodolphe profite de cette occasion pour faire sa cour à la jeune femme. Il va à sa rencontre, et parvient à fausser compagnie à M. Lheureux et au pharmacien. Rodolphe et Emma assistent tous les deux à l'examen des bêtes, à l'arrivée des notables. Du premier étage de la mairie, ils entendent, par bribes, les discours officiels, car Rodolphe met à profit la situation pour tenir à Emma des propos séducteurs. Emma se laisse prendre au jeu et n'émet qu'une faible résistance. Les discours sont suivis de la remise de médailles : une servante reçoit cette décoration en récompense de ses cinquante ans de labeur. La fête se termine par un feu d'artifice raté. M. Homais rédige un article dithyrambique pour le Fanal de Rouen, dont il est le correspondant.
Rodolphe attend six semaines avant de rendre visite à Emma. Il joue d'abord la comédie puis simule la mélancolie. Charles survient, Rodolphe feint alors de s'inquiéter de la santé d'Emma. Il lui conseille une promenade à cheval. Charles donne son aval. La jeune femme part donc pour une balade à cheval en compagnie de Rodolphe. Ils pénètrent dans une forêt. C'est là qu'Emma se donne à son compagnon. " Elle se répétait : " J'ai un amant ! un amant ! " se délectant à cette idée comme à celle d'une autre puberté qui lui serait survenue. Elle allait donc posséder enfin ces joies de l'amour, cette fièvre du bonheur dont elle avait désespéré." Elle rencontre alors Rodolphe tous les jours, dans la forêt, puis elle n'hésite pas à se rendre jusqu'au château de Rodolphe. Ce dernier commence à trouver ces visites imprudentes.

Un jour, lors d'une de ses escapades matinales, Emma rencontre le percepteur Binet. Elle se montre peu convaincante quant à la justification de cette promenade. Toute la journée, elle s'angoisse des commérages que pourrait colporter Binet. Le soir, elle rencontre à nouveau le percepteur chez Homais, le pharmacien. Binet ne peut s'empêcher de faire allusion à leur rencontre matinale. Heureusement les invités ne réagissent pas. C'est donc le soir, sous la tonnelle de leur jardin, ou par temps de pluie dans le cabinet de consultations de son mari, qu'Emma donne maintenant rendez-vous à son amant. Mais Rodolphe commence à s'ennuyer de cette liaison. A l'approche du printemps, Emma, bien que toujours amoureuse de cet amant, éprouve des remords en lisant une lettre naïve et touchante de son père. Elle dresse un bilan amer de son existence et regrette la candeur de son enfance. Elle redécouvre auprès de sa fille la tendresse maternelle et souhaiterait se rapprocher de son mari.

Homais et Emma œuvrent auprès de Charles pour le convaincre d'opérer Hippolyte, le garçon d'écurie du Lion d'Or, de son pied-bot. Charles accepte. L'opération semble un succès et Emma éprouve une tendresse admirative pour son mari. Homais montre aux Bovary l'article qu'il a préparé pour le Fanal de Rouen. Malheureusement des complications surviennent vite, et la jambe du malheureux Hippolyte se gangrène. Il faut faire appel au docteur Canivet, célèbre médecin de Neuchâtel. Il doit procéder à l'amputation de la cuisse. Cet échec anéantit les espoirs professionnels de Charles. La déception est également immense pour Mme Bovary qui se sent humiliée d'avoir fondé en vain des espoirs dans son mari. Ses dernières résolutions vertueuses disparaissent : Emma se détache irrémédiablement de Charles et s'abandonne à nouveau dans les bras de Rodolphe.
Emma s'enflamme de nouveau pour son amant. Elle lui suggére même de tout abandonner pour partir ensemble : "Nous irions vivre ailleurs". Elle offre beaucoup de cadeaux à son amant, et dérobe de l'argent à son mari pour payer ses dettes auprès de Lheureux. Elle met ainsi en péril les finances de son couple. Elle n'hésite plus à s'afficher avec son amant dans un attitude provocante : " Par l'effet seul de ses habitudes amoureuses, madame Bovary changea d'allures. Ses regards devinrent plus hardis, ses discours plus libres ; elle eut même l'inconvenance de se promener avec M. Rodolphe, une cigarette à la bouche, comme pour narguer le monde". Rodolphe, lui, n'est pas à la hauteur de cette passion, il se lasse de sa maîtresse et la traite avec peu de ménagement. Il finit pourtant sur insistance d'Emma par accepter de "l'enlever". Leur fuite est prévue pour début septembre. Charles, lui, rêve encore de beaux projets pour son épouse et sa fille. Tout est prêt pour la fuite des amants. Lheureux une nouvelle fois procure le nécessaire : "un grand manteau et une caisse pas trop lourde...". L'avant-veille du départ, les amants ont rendez-vous au clair de lune. Rodolphe le sait déjà : il ne partira pas avec Emma et sa fille.
Rentré chez lui, Rodolphe écrit une longue lettre de rupture à Emma. Dès les premiers mots, la jeune femme comprend. Effondrée, elle s'enfuit au grenier où, dans un vertige, elle songe à se suicider. Redescendue pour le dîner, elle entend passer le tilbury de Rodolphe qui l'emporte loin de Yonville. Elle perd connaissance. "Une fièvre cérébrale" la cloue au lit pendant plus d'un mois. Charles veille en permanence sur elle, guettant les signes d'un rétablissement. Vers la mi-octobre, elle retrouve peu à peu la santé. Mais Charles l'emmène sous la tonnelle. Cette vision du banc, où elle donnait rendez-vous à son amant, provoque une rechute : " Elle eut un étourdissement, et dès le soir, sa maladie recommença, avec une allure plus incertaine, il est vrai, et des caractères plus complexes. Tantôt elle souffrait au coeur, puis dans la poitrine, dans le cerveau, dans les membres ; il lui survint des vomissements où Charles crut apercevoir les premiers symptômes d'un cancer."
Charles s'est beaucoup endetté pour soigner son épouse et aussi pour honorer les achats qu'elle avait réalisés pour sa fuite avec Rodolphe. Lheureux profite de la situation et se montre de plus en plus menaçant. Charles, trop inquiet du fait de l'état de santé d'Emma pour analyser la situation, lui emprunte de l'argent. Durant sa convalescence, madame Bovary reçoit des visites du curé et retrouve provisoirement la foi. Un jour, Homais, le pharmacien, conseille à Charles d'aller à Rouen avec son épouse écouter un opéra de Donizetti. Dès le lendemain, à huit heures, le couple part pour Rouen.
Les Bovary arrivent très tôt à l'opéra. Ils admirent la salle et le décor. Puis la représentation commence. Emma est subjuguée par le ténor Lagardy. Elle se passionne également pour le spectacle et trouve des similitudes entre le destin de Lucie de Lammemoor et le sien. À l'entracte, Charles, va chercher un rafraîchissement pour sa femme, et rencontre Léon. Le clerc vient saluer Emma dans la loge des Bovary. A la fin de la représentation, il emmène les Bovary au café. Là, Charles suggère à sa femme de rester seule un jour de plus à Rouen pour revoir l'opéra.
parte 4 (copiar a seguir) MADRYaus
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Madame Bovary
Madame Bovary
Ségolène Royal investie par les militants socialistes
Avec une participation historique de 180 558 votants, Ségolène Royal a été investie à la présidentielle par les militants socialistes à une large majorité.Ségolène Royal remporte 108 807 voix soit 60,65 % des suffrages, Dominique Strauss-Kahn obtient 37 118 voix soit 20,69 % des suffrages et Laurent Fabius 33 487 voix soit 18,66 % des suffrages.Télécharger les résultats Voir la vidéo de l'annonce des résultatsLe site de Ségolène Royal
France Soir - Wikipédia
France Soir est un quotidien généraliste français créé en 1944.
Ce journal a été placé en redressement judiciaire à la fin de l'année 2005 et durant le premier trimestre 2006. Au début du mois de février 2006, il s'est illustré en publiant la série de caricatures de Mahomet qui avait valu au journal danois Jyllands-Posten une vive désapprobation du monde musulman. Cette action relança la polémique et entraîna le licenciement du directeur de la publication Jacques Lefranc.
Devant des sénateurs américains, le nouveau secrétaire à la Défense, Robert Gates, s’est montré pessimiste sur l’issue de la guerre et s'est dit ouvert à des nouvelles idées, comme un dialogue avec la Syrie et l'Iran.

A la question «pensez-vous que (les Etats-Unis) sont en train de gagner la guerre en Irak?», le nouveau secrétaire américain de la Défense, Robert Gates, a répondu «Non monsieur», mardi, lors d'un grand oral devant la commission des forces armées du Sénat, préalable à la confirmation de sa nomination. «Ce que nous faisons maintenant (en Irak) n’est pas satisfaisant (…) Le statu quo n’est pas tenable», a ajouté ce proche de la famille Bush.
Pessimiste sur un retrait rapide des troupes américaines, il s’est dit personnellement ouvert «à des idées alternatives sur nos prochaines tactiques et stratégies en Irak», tout en rappelant que le président aurait le dernier mot.
Un nombre de Gi's drastiquement inférieur
«Il me semble que les Etats-Unis vont devoir garder une présence en Irak pendant longtemps», a-t-il ajouté. «Les forces irakiennes n'ont pas de capacités logistiques propres, ni de puissance aérienne (…) Donc (même) si un changement de stratégie auquel nous arriverions avec le président marche, nous allons toujours devoir garder un certain niveau de soutien américain pour les militaires irakiens», a-t-il dit.
Mais, a-t-il précisé, le nombre des militaires américains devant rester en Irak pourrait être «drastiquement inférieur» à ce qu'il est aujourd'hui, autour de 150.000 hommes. «Toutes les options sont sur la table», a-t-il toutefois répété. Selon lui, si rien n’est fait d’ici un ou deux ans, la situation en Irak risque de dégénérer en «confrontation régionale».
Il est également partisan d’ouvrir des discussions avec l’Iran et la Syrie, pour tenter de stabiliser l’Irak, comme devrait le préconiser le rapport de la commission Baker. Interrogé sur la pertinence d’une guerre contre l’Iran ou la Syrie, il a estimé que cette option n’était pas envisageable, sauf en «dernier recours absolu».
Cette déclaration choc intervient la veille de la publication du rapport du Groupe d'études sur l'Irak, dit commission Baker. Ce texte très attendu par la Maison-Blanche pourrait être le prélude à un virage stratégique des Etats-Unis, en Irak.
A l'issue de cette audition, la commission des forces armées du Sénat, puis l'ensemble des 100 sénateurs américains devaient voter pour confirmer ou pas la nomination de Robert Gates au secrétariat à la Défense.
Un avion de Ryanair frôle le crash
lefigaro.fr (avec AFP).
Publié le 05 décembre 2006
Actualisé le 05 décembre 2006 : 16h17
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Un Boeing 737-800 de la compagnie Ryanair. (DR)




Un Boeing 737-800 de la compagnie Ryanair.
(DR).
En complément
Lire le rapport de l'Unité d'enquête sur les accidents aériens irlandaise (PDF)
Les autres titres
Pentagone : "les Etats-Unis ne sont pas en train de gagner la guerre"
Moscou met des bâtons dans les roues de Scotland Yard
Un avion de Ryanair frôle le crash
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Paris et Berlin plaident la cause de Poutine auprès de Varsovie
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Retour Rubrique International
La catastrophe a été évitée de justesse en mars dernier : la compagnie aérienne avait oublié de prévenir les pilotes de l’appareil que les balises avaient été changées de place pour cause de travaux.

23 mars 2006, à l’aéroport de Knock, en Irlande. Un appareil de la compagnie aérienne irlandaise à bas prix Ryanair en provenance de Londres-Gatwick avec 144 personnes à son bord, s’apprête à atterrir.
Selon le rapport publié ensuite par l'Unité d'enquête sur les accidents aériens irlandaise (AAIU), lorsque le Boeing 737-800 ressort de la couche de nuages, les pilotes s'aperçoivent qu'il est à seulement 130 mètres du sol. Ils coupent le pilote automatique et remontent en urgence. La catastrophe est évitée "de justesse", conclut le rapport.
La raison de cette manoeuvre ? Des balises, qui aident les pilotes en cas de mauvaise visibilité, n'étaient pas à leur place habituelle, à cause de travaux. Mais Ryanair, pourtant prévenue depuis six semaines, avait omis de le signaler à ses pilotes ce déplacement temporaire. Les pilotes ont donc programmé une mauvaise information d'atterrissage dans l'ordinateur de bord qui gère le pilote automatique.
Dangereusement près du sol
Résultat : quand, au moment d’atterrir, un contrôleur aérien leur demande de modifier leur approche, les pilotes se trouvent alors "tellement absorbés" par la manipulation de l'ordinateur de bord qu'ils ne réalisent pas qu'ils descendent plus rapidement que la normale et s'approchent dangereusement du sol. L'enquête met finalement en cause le capitaine pour s'être distrait de sa tâche de pilotage, mais surtout Ryanair elle-même pour n'avoir pas donné aux pilotes les informations appropriées, et pour avoir mis "un temps inacceptable" à notifier l'incident.
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La catastrophe a été évitée de justesse en mars dernier : la compagnie aérienne avait oublié de prévenir les pilotes de l’appareil que les balises avaient été changées de place pour cause de travaux.
23 mars 2006, à l’aéroport de Knock, en Irlande. Un appareil de la compagnie aérienne irlandaise à bas prix Ryanair en provenance de Londres-Gatwick avec 144 personnes à son bord, s’apprête à atterrir.
Selon le rapport publié ensuite par l'Unité d'enquête sur les accidents aériens irlandaise (AAIU), lorsque le Boeing 737-800 ressort de la couche de nuages, les pilotes s'aperçoivent qu'il est à seulement 130 mètres du sol. Ils coupent le pilote automatique et remontent en urgence. La catastrophe est évitée "de justesse", conclut le rapport.
La raison de cette manoeuvre ? Des balises, qui aident les pilotes en cas de mauvaise visibilité, n'étaient pas à leur place habituelle, à cause de travaux. Mais Ryanair, pourtant prévenue depuis six semaines, avait omis de le signaler à ses pilotes ce déplacement temporaire. Les pilotes ont donc programmé une mauvaise information d'atterrissage dans l'ordinateur de bord qui gère le pilote automatique.
Dangereusement près du sol
Résultat : quand, au moment d’atterrir, un contrôleur aérien leur demande de modifier leur approche, les pilotes se trouvent alors "tellement absorbés" par la manipulation de l'ordinateur de bord qu'ils ne réalisent pas qu'ils descendent plus rapidement que la normale et s'approchent dangereusement du sol. L'enquête met finalement en cause le capitaine pour s'être distrait de sa tâche de pilotage, mais surtout Ryanair elle-même pour n'avoir pas donné aux pilotes les informations appropriées, et pour avoir mis "un temps inacceptable" à notifier l'incident.
La catastrophe a été évitée de justesse en mars dernier : la compagnie aérienne avait oublié de prévenir les pilotes de l’appareil que les balises avaient été changées de place pour cause de travaux.
23 mars 2006, à l’aéroport de Knock, en Irlande. Un appareil de la compagnie aérienne irlandaise à bas prix Ryanair en provenance de Londres-Gatwick avec 144 personnes à son bord, s’apprête à atterrir.
Selon le rapport publié ensuite par l'Unité d'enquête sur les accidents aériens irlandaise (AAIU), lorsque le Boeing 737-800 ressort de la couche de nuages, les pilotes s'aperçoivent qu'il est à seulement 130 mètres du sol. Ils coupent le pilote automatique et remontent en urgence. La catastrophe est évitée "de justesse", conclut le rapport.
La raison de cette manoeuvre ? Des balises, qui aident les pilotes en cas de mauvaise visibilité, n'étaient pas à leur place habituelle, à cause de travaux. Mais Ryanair, pourtant prévenue depuis six semaines, avait omis de le signaler à ses pilotes ce déplacement temporaire. Les pilotes ont donc programmé une mauvaise information d'atterrissage dans l'ordinateur de bord qui gère le pilote automatique.
Dangereusement près du sol
Résultat : quand, au moment d’atterrir, un contrôleur aérien leur demande de modifier leur approche, les pilotes se trouvent alors "tellement absorbés" par la manipulation de l'ordinateur de bord qu'ils ne réalisent pas qu'ils descendent plus rapidement que la normale et s'approchent dangereusement du sol. L'enquête met finalement en cause le capitaine pour s'être distrait de sa tâche de pilotage, mais surtout Ryanair elle-même pour n'avoir pas donné aux pilotes les informations appropriées, et pour avoir mis "un temps inacceptable" à notifier l'incident.
La catastrophe a été évitée de justesse en mars dernier : la compagnie aérienne avait oublié de prévenir les pilotes de l’appareil que les balises avaient été changées de place pour cause de travaux.
23 mars 2006, à l’aéroport de Knock, en Irlande. Un appareil de la compagnie aérienne irlandaise à bas prix Ryanair en provenance de Londres-Gatwick avec 144 personnes à son bord, s’apprête à atterrir.
Selon le rapport publié ensuite par l'Unité d'enquête sur les accidents aériens irlandaise (AAIU), lorsque le Boeing 737-800 ressort de la couche de nuages, les pilotes s'aperçoivent qu'il est à seulement 130 mètres du sol. Ils coupent le pilote automatique et remontent en urgence. La catastrophe est évitée "de justesse", conclut le rapport.
La raison de cette manoeuvre ? Des balises, qui aident les pilotes en cas de mauvaise visibilité, n'étaient pas à leur place habituelle, à cause de travaux. Mais Ryanair, pourtant prévenue depuis six semaines, avait omis de le signaler à ses pilotes ce déplacement temporaire. Les pilotes ont donc programmé une mauvaise information d'atterrissage dans l'ordinateur de bord qui gère le pilote automatique.
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Résultat : quand, au moment d’atterrir, un contrôleur aérien leur demande de modifier leur approche, les pilotes se trouvent alors "tellement absorbés" par la manipulation de l'ordinateur de bord qu'ils ne réalisent pas qu'ils descendent plus rapidement que la normale et s'approchent dangereusement du sol. L'enquête met finalement en cause le capitaine pour s'être distrait de sa tâche de pilotage, mais surtout Ryanair elle-même pour n'avoir pas donné aux pilotes les informations appropriées, et pour avoir mis "un temps inacceptable" à notifier l'incident.
La catastrophe a été évitée de justesse en mars dernier : la compagnie aérienne avait oublié de prévenir les pilotes de l’appareil que les balises avaient été changées de place pour cause de travaux.
23 mars 2006, à l’aéroport de Knock, en Irlande. Un appareil de la compagnie aérienne irlandaise à bas prix Ryanair en provenance de Londres-Gatwick avec 144 personnes à son bord, s’apprête à atterrir.
Selon le rapport publié ensuite par l'Unité d'enquête sur les accidents aériens irlandaise (AAIU), lorsque le Boeing 737-800 ressort de la couche de nuages, les pilotes s'aperçoivent qu'il est à seulement 130 mètres du sol. Ils coupent le pilote automatique et remontent en urgence. La catastrophe est évitée "de justesse", conclut le rapport.
La raison de cette manoeuvre ? Des balises, qui aident les pilotes en cas de mauvaise visibilité, n'étaient pas à leur place habituelle, à cause de travaux. Mais Ryanair, pourtant prévenue depuis six semaines, avait omis de le signaler à ses pilotes ce déplacement temporaire. Les pilotes ont donc programmé une mauvaise information d'atterrissage dans l'ordinateur de bord qui gère le pilote automatique.
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...
...
ÍNDICE
Madame Bovary MADRY ATÉ AO FIM DA PARTE 3
SÉGOLÈNE
►04MA2005
FRANÇAIS→►Interview de Traian Basescu, président de la Roumanie
Depuis son élection en décembre dernier à la tête de la Roumanie, Traian Basescu n'a qu'une seule obsession : l'adhésion de son pays à l'Europe le 1er janvier 2007. Un rêve sur le point de devenir réalité, mais Traian Basescu sait que son pays doit rester très prudent à cause de la clause de sauvegarde introduite par l'Union Européenne dans les conditions d'adhésion. Une équipe d'EuroNews a rencontré Traian Basescu à Bucarest. Il parle de la future adhésion et de ses réformes politiques en cours.EuroNews : Que pensez vous de la clause de sauvegarde introduite par l'Union Européenne. Est-ce un manque de confiance envers la Roumanie ?Traian Basescu : Et bien... soyons honnête. Les uropéens ont eu raison d'introduire cette clause car historiquement parlant la Roumanie a l'habitude de s'engager mais de ne pas tenir ses promesses. Alors je comprends très bien que les Etats-membres ont besoin d'être rassurés pour l'adhésion de la Roumanie et de la Bulgarie. Si nous respectons toutes les conditions de la clause, alors la Roumanie deviendra un pays plus performant.EuroNews : La Roumanie a promulgué une importante loi contre la corruption. Pensez-vous que cette loi fonctionne ?Traian Basescu : Le point clef n'est pas la loi que nous avons approuvée et que nous commençons à mettre en application. Le plus important pour la justice roumaine est son indépendance. Une justice qui ne doit pas être contrôlée par les politiciens. Je peux vous garantir que sur mes quatre premiers mois de mandats, hebdomadairement et parfois quotidiennement j'ai publiquement demandé aux institutions d'Etat d'agir suivant la loi et non suivant le bon vouloir des politiques. En tant que président roumain je ne suis pas intéressé par les petits poissons. Ces petits poissons peuvent être attrapés par n'importe quel procureur, policier, n'importe qu'elle personne chargée de combattre la corruption. Mon objectif en tant que président est de nettoyer la classe politique des requins, les gros requins.EuroNews : A qui pensez-vous lorsque vous parlez de gros requins ?Traian Basescu : Parmi les 300 plus riches personnes de Roumanie existent de nombreux gros requins de l'économie. Nous devons nous attaquer à eux. Si vous lisez les journaux ces jours-ci, vous verrez qu'une partie d'entre eux est déjà en prison. Et nous allons continuer. Nous allons tout d'abord repérer les politiciens qui les soutiennent et qui leur permettent de réaliser de telles fraudes. Et je n'interromprai pas le processus. Je l'encouragerai toujours.EuroNews : Pensez-vous que les personnes en charge des poursuites contre la corruption font du bon travail ?Traian Basescu : Ils me présentent quelques petits cas de fonctionnaires qui ont reçu 500 euros, ou des docteurs qui perçoivent des bonus... je ne sais pas... des d'officier du ministère de la défense qui ont je ne sais quel petits arrangements... Des petits cas. Je discute avec eux et je les conseille. Lors de la dernière réunion il y a quelques jours je leur ai dit qu'ils devaient s'attaquer aux grosses affaires.EuroNews : De votre point de vue, quel rôle peuvent jouer les Etats-Unis en Europe ?Traian Basescu : Il est clair que les Etats-Unis semblent plus interessés que les Européens par l'instabilité en mer Noire. J'ai discuté avec des politiciens européens. Je les ai invités à regarder la situation de la mer Noire. On a parlé de trafic de drogue, de personnes de ces régions qui partent dans des pays d'Europe de l'ouest. On a parlé de trafic d'armes qui part vers les Balkans, le Proche-Orient, l'Afghanistan, l'Irak. Nous devons continuer à conseiller nos amis de l'Union européenne car tôt ou tard nous aurons tous un problème avec la mer Noire. Bien sûr les Américains sont plus réactifs. Ils ont déjà compris l'importance de la Mer Noire pour la sécurité de l'Europe et je suis convaincu que tôt ou tard, tout le monde portera son attention sur la mer Noire et selon moi la solution est d'internationaliser ces eaux comme le sont actuellement les eaux de la mer Méditerranée.


FRANÇAIS→►Presidente da Roménia alerta para perigo de segurança no Mar Negro
Desde a sua eleição como Presidente da Roménia, em Dezembro, que Traian Basescu possui um grande objectivo: a adesão do seu país à União Europeia em Janeiro de 2007. Um sonho que ainda não se tornou real, mas Basescu sabe que a Roménia tem de ter muito cuidado devido à cláusula de salvaguarda que Bruxelas estabeleceu. Uma Equipa da EuroNews entrevistou-o em Bucareste e o processo de adesão e a sua política de reformas foram alguns dos temas.EuroNews: O que é que acha da cláusula de salvaguarda adoptada pela União Europeia. Pensa que existe uma certa falta de confiança em relação à Roménia?Traian Basescu: Bom, vamos ser honestos. Os europeus tiveram razão em introduzirem esta cláusula, porque a Roménia tem um historial de assumir compromissos e não os cumprir. Ao mesmo tempo compreendi muito bem que as populações dos países europeus precisam de ser protegidas da adesão da Roménia e da Bulgária. Se alcançarmos todas as metas definidas nesta cláusula, a Roménia será um país realizado.EuroNews: A Roménia criou importante legislação contra a corrupção. Pensa que ela vai funcionar?Traian Basescu: O centro da questão não é apenas a acção no terreno que aprovámos e começámos a implementar. O ponto fulcral tem a ver com a justiça, ou seja, a independência de uma justiça que não pode estar controlada pelos políticos. Posso garantir que, semanalmente e por vezes diariamente, nos meus primeiros 4 meses de mandato, peço publicamente às instituições estatais para actuarem em sintonia com a lei e não de acordo com influências políticas. Como Presidente da Roménia não estou interessado nos peixes miúdos. Os peixes miúdos têm que ser capturados por procuradores, policias ou outra pessoa que desempenhe as funções de lutar contra a corrupção. O meu objectivo como Presidente é limpar a classe política dos tubarões, os grandes tubarões.EuroNews: Quando fala em grandes tubarões, a quem é que se refere?Traian Basescu: Alguns dos 300 homens mais ricos da Roménia são de facto os maiores tubarões da nossa economia e por isso temos que atacá-los. Se reparar nos jornais, hoje em dia, irá perceber que alguns deles já estão presos. Nós vamos prosseguir. Em primeiro lugar, vamos continuar a detectar políticos que os apoiam em grandes fraudes. Não vou parar... irei sempre encorajar o processo.EuroNews: Pensa que todos os procuradores encarregados de combater a corrupção estão a trabalhar bem?Traian Basescu: Eles apresentam pequenos casos onde estão envolvidos funcionários públicos que recebem 500 euros ou doutores que obtém presentes de pessoas... com funcionários do Ministério da Defesa... não sei como funcionam, pequenos casos. Eu discuto com eles, como na reunião de há dois dias e aconselho-os a darem atenção aos grandes casos.EuroNews: Na sua perspectiva qual é o papel mais importante que os Estados Unidos podem desempenhar na Europa?Traian Basescu: É notório que os Estados Unidos preocupam-se mais com a instabilidade no Mar Negro do que a União Europeia. Discuto com os políticos europeus, convido-os a olharem a situação no Mar Negro, seja do ponto de vista do narcotráfico, do tráfico humano para países da Europa ocidental ou mesmo do comércio legal de armamento, cujo destino são países dos Balcãs e do Médio Oriente, como Afeganistão ou Iraque. Temos que continuar a alertar os nossos amigos da União Europeia que, mais cedo ou mais tarde, todos vamos ter problemas no Mar Negro. Claro que os americanos reagem mais. Eles já perceberam a importância do Mar Negro para a segurança na Europa e estou convencido que em breve todos vão dar a devida atenção. Na minha opinião é preciso internacionalizar o Mar Negro como já acontece com o Mar Mediterrâneo.
MADRY
Madame Bovary de Gustave Flaubert
il testo integrale online di madame bovary
Résumé du roman
Quelques jugements sur l'oeuvre de Gustave Flaubert
Extraits de la correspondance de Gustave Flaubert
Le texte Intégral de Madame Bovary sur le serveur de l'ABU
Quelques citations de madame Bovary
Le site de JB Guinot sur Flaubert : sa vie, son oeuvre, ses voyages, ses amis, ses amours , le texte intégral de certains de ses romans ... Une véritable mine d'or.
Marcel Proust évoque Flaubert
Madame Bovary by Gustave Flaubert (english version)
Résumé du roman

Première Partie

"Nous étions à l'Etude, quand le Proviseur entra suivi d'un nouveau habillé en bourgeois et d'un garçon de classe qui portait un grand pupitre. Ceux qui dormaient se réveillèrent, et chacun se leva comme surpris dans son travail".
Ainsi débute Madame Bovary : Ce nouvel élève, âgé d'une quinzaine d'années, qui entre en 5ème au Collège de Rouen n'est autre que Charles Bovary. Il a l'air un peu ridicule, ce "gars de la campagne". Son attitude un peu gauche déchaîne le rire de ses camarades. Il arrive d'un village situé entre le pays de Caux et la Normandie où ses parents, qui ne s'entendent pas, se sont retirés. Son père est un médiocre qui a accumulé de nombreux échecs. Sa mère, frustrée et aigrie, a reporté tous ses espoirs sur ce fils qu'elle a couvé.
Charles Bovary s'installe à Tostes et épouse sous l'influence de sa mère une veuve de quarante-cinq ans, riche, laide et tyrannique, Mme Dubuc. Elle aime Charles avec passion mais exerce à son égard une surveillance despotique. Le jeune Charles connaît ainsi une vie de couple qui ressemble à un cauchemar.
Une nuit d'hiver, Charles se rend à la ferme des Bertaux. Le père Rouault, son propriétaire, "un cultivateur des plus aisés" vient de se casser la jambe. Charles soigne le maître des lieux et est sensible au charme d'Emma, sa fille. Les jours suivants, il revient aux Bertaux, jusqu'à ce que son épouse, jalouse, lui interdise d'y retourner. Au début du printemps, le notaire de Mme Bovary commet une malversation qui laisse cette dernière à demi ruinée. Elle meurt brusquement une semaine plus tard.
Peu après, sur l'invitation du père Rouault, Charles retourne aux Bertaux. Il revoit Emma. Il est amoureux de la jeune fille, mais n'ose se déclarer. "À l'époque de la Saint Michel" il se décide à la demander en mariage. La noce est fixée au printemps suivant, l'hiver sera occupé par les préparatifs. Emma rêvait de "se marier à minuit, aux flambeaux". La noce, campagnarde, sera beaucoup moins féerique. Charles ne brille guère durant la noce, ne répondant que médiocrement aux calembours ou compliments que lui adressent les invités.
Mais le lendemain des noces Charles semble découvrir le bonheur près d'Emma. Il laisse éclater sa joie et se réjouit de trouver en elle une épouse parfaite. Emma commence par apporter des changements dans l'aménagement de la maison et Charles est tout à sa joie de la voir aussi bien conduire son ménage, dessiner, jouer du piano, ou recevoir avec élégance. Mais la jeune femme, elle, est distante. La réalité ne correspond pas à ce qui lui avait paru si beau dans les livres de son enfance. Elle avait tant rêvée de ce mari qui devait lui procurer une vie plus passionnante. Elle souhaitait tant oublier celle monotone, qu'elle avait passée avec son veuf de père, depuis sa sortie du couvent. Or ce mari, tant idéalisé, se révèle bien décevant.
Elevée au couvent, parmi des jeunes filles du monde, Emma y a reçu une parfaite éducation. Elle a lu Paul et Virginie, a rêvé en lisant des romans sentimentaux et historiques, ou des poèmes romantiques. Elle a admiré des gravures représentant de jeunes hommes serrant dans leurs bras des ladies anglaises à boucles blondes. Toute cette éducation a nourri son "tempérament sentimental" et ses songes romanesques.
Aux antipodes de l'homme rêvé, Charles déçoit Emma. Son manque de mystère et de raffinement désappointe la jeune femme. La vie humble et sans surprise qu'il lui offre lasse Emma. Heureusement, une invitation du Marquis d'Andervilliers à un bal au château de la Vaubyessard vient rompre la monotonie de son existence.
Emma, émerveillée, découvre le luxe et l'élégance du monde aristocratique. Ce monde enchanté auquel elle a tant rêvé lui fait oublier un instant ses origines paysannes. Hélas , le rêve est éphémère et le retour à Tostes, silencieux et triste. Dès le lendemain, il lui faut subir les conversations banales de Charles. " Son voyage à la Vaubyessard avait fait un trou dans sa vie, à la manière de ces grandes crevasses qu'un orage, en une seule nuit, creuse quelquefois dans les montagnes". Emma se réfugie dans "le souvenir de ce bal".
Emma rêve devant le " porte-cigares tout bordé de soie verte" que Charles a ramassé sur le chemin du retour. Elle imagine que cet objet appartient au "Vicomte". Emma rêve aussi de Paris et se met à lire Balzac, George Sand et Eugène Sue. Mais à Tostes, l'ennui s'accroît et la jeune femme est de plus en plus irritée par le manque d'ambition et le laisser-aller de son mari. Les saisons se succèdent. Elle vit pourtant dans l'espoir d'une nouvelle invitation, mais en vain. Un an et demi après le bal de la Vaubyessard, sa santé s'altère et Emma laisse tout aller dans son ménage . Charles, qui est resté quatre ans à Tostes, décide alors de déménager et de s'installer à Yonville . Emma est enceinte. Il espère que ce déménagement lui sera bénéfique.
Deuxième Partie
Les époux Bovary arrivent à Yonville. A l'auberge du Lion d'Or. Madame veuve Lefrançois, la maîtresse de l'auberge, prépare le dîner. Il y a là , pour accueillir les Bovary, Monsieur Homais, le pharmacien, le percepteur Binet, et le curé Bournisien. Pendant que Homais et Charles Bovary devisent sur la médecine, Emma sympathise avec Léon Dupuis, clerc de notaire et habitué de l'auberge, qui dîne avec eux. Ils se découvrent des goûts communs. Puis les Bovary s'installent dans leur maison : " C'était la quatrième fois qu'elle ( Emma) couchait dans un endroit inconnu. La première avait été le jour de son entrée au couvent, la seconde celle de son arrivée à Tostes, la troisième à la Vaubyessard, la quatrième était celle-ci ; et chacune s'était trouvée faire dans sa vie comme l'inauguration d'une phase nouvelle." La jeune femme se prend à rêver à des jours meilleurs.
Homais, le pharmacien, se montre, avec les Bovary, le meilleur des voisins. Il essaye, en fait, de s'attirer la sympathie de Charles Bovary, au cas où ce dernier apprendrait qu'il exerce de façon illicite la médecine. Charles, lui, est maussade car la clientèle "n'arrive pas" . Heureusement cette déception professionnelle est compensée par la naissance de sa fille. Emma donne naissance à Berthe. La jeune femme eût préféré un fils. Après le baptême, la petite est mise en nourrice, chez Mme Rollet. Un jour, Léon accompagne Emma et sa fille chez la nourrice. Sur le chemin, Emma et Léon se donnent la main. Cette complicité ne passe pas inaperçue : " Dès le soir, cela fut connu dans Yonville, et madame Tuvache, la femme du maire, déclara devant sa servante que madame Bovary se compromettait" .
La vie, se poursuit, monotone. Emma guette chaque jour, de sa maison, le passage de Léon. Les Bovary sont invités régulièrement, le dimanche, avec Léon, chez Homais, le pharmacien : On y joue au trente et un, et aux dominos. Puis Homais et Bovary s'endorment. Léon et Emma feuillettent alors ensemble L'illustration et goûtent cette "solitude" :" Ils se parlaient à voix basse, et la conversation qu'ils avaient leur semblait plus douce, parce qu'elle n'était pas entendue". Les jeunes gens s'échangent des cadeaux. Léon fait la cour à Emma mais ne se déclare pas . En février, lors d'une promenade dominicale aux environs d'Yonville, en compagnie des Homais et de Léon, Emma prend conscience de la banalité de Charles face au charme du jeune homme. Elle réalise aussi que Léon est amoureux d'elle. Elle décide de ne pas céder à la tentation et s'efforce de rester une maîtresse de maison modèle et une mère irréprochable. Sa maîtrise apparente cache pourtant un douloureux conflit intérieur : amour pour Léon et volonté de rester vertueuse. C'est Charles qui sera le bouc émissaire de ce malheur : elle le méprisait, elle se met à le haïr.
Un soir d'avril, elle entend l'angélus. "Ce tintement répété" rappelle à Emma le souvenir du couvent. La religion peut l'aider , peut-être, à affronter cette crise qu'elle traverse : elle se rend à l'église afin de confier son trouble à Bournisien, le curé. Mais le dialogue entre l'homme d'église et la jeune femme n'est qu'une suite de malentendus. Pour lui, ces souffrances sont purement physiques. Cette incompréhension laisse Emma désemparée. De retour chez elle, Emma repousse sèchement sa fille Berthe, qui tombe et se blesse. Charles, qui rentre pour le dîner, soigne cette blessure sans gravité. La jeune mère , se reprochant son attitude, reste pour veiller sur sa fille endormie. Elle est effrayée de la laideur de son enfant.
Quant à Léon, il désespère de l'inaccessibilité d'Emma et se lasse de cet amour sans espoir. Il décide alors de partir à Paris terminer son droit . Il vient faire ses adieux à Emma. L'émotion est grande mais le jeune homme ne parvient pas à trouver les mots pour l'exprimer. Au cours de la soirée qui suit son départ, Homais évoque les réjouissances de la capitale; il annonce aussi que des Comices agricoles auront lieu cette année à Yonville.
Suite au départ de Léon, Madame Bovary sombre à nouveau dans la mélancolie : " le chagrin s'engouffrait dans son âme avec des hurlements doux, comme fait le vent d'hiver dans les châteaux abandonnés". La visite du sieur Lheureux, marchand de nouveautés, lui donne l'occasion de faire des dépenses déraisonnables. Emma se lance aussi dans des lectures ambitieuses : " Elle voulut apprendre l'italien : elle acheta des dictionnaires, une grammaire, une provision de papier blanc. Elle essaya des lectures sérieuses, de l'histoire et de la philosophie". Charles sombre dans l'inquiétude. Il fait appel à sa mère :"Alors il écrivit à sa mère pour la prier de venir, et ils eurent ensemble de longues conférences au sujet d'Emma". Mme Bovary mère ne trouve guère de solutions miracles. Il faut, selon elle, "empêcher Emma de lire des romans".
Un jour de marché, Rodolphe Boulanger, le nouveau châtelain de la Huchette, rend visite à Charles Bovary, avec un de ses fermiers à qui il faut faire une saignée. Durant l'intervention de l'officier de santé, il regarde Emma et la trouve très jolie. Aristocrate libertin, "de tempérament brutal et d'intelligence perspicace", il devine le fossé qui s'est creusé entre les deux époux, il décèle aussi les frustrations et les rêves inassouvis d'Emma. C'est décidé, lors des prochains comices agricoles, il fera tout pour la séduire.
Le jour des comices est arrivé, tout le village est en fête. Rodolphe profite de cette occasion pour faire sa cour à la jeune femme. Il va à sa rencontre, et parvient à fausser compagnie à M. Lheureux et au pharmacien. Rodolphe et Emma assistent tous les deux à l'examen des bêtes, à l'arrivée des notables. Du premier étage de la mairie, ils entendent, par bribes, les discours officiels, car Rodolphe met à profit la situation pour tenir à Emma des propos séducteurs. Emma se laisse prendre au jeu et n'émet qu'une faible résistance. Les discours sont suivis de la remise de médailles : une servante reçoit cette décoration en récompense de ses cinquante ans de labeur. La fête se termine par un feu d'artifice raté. M. Homais rédige un article dithyrambique pour le Fanal de Rouen, dont il est le correspondant.
Rodolphe attend six semaines avant de rendre visite à Emma. Il joue d'abord la comédie puis simule la mélancolie. Charles survient, Rodolphe feint alors de s'inquiéter de la santé d'Emma. Il lui conseille une promenade à cheval. Charles donne son aval. La jeune femme part donc pour une balade à cheval en compagnie de Rodolphe. Ils pénètrent dans une forêt. C'est là qu'Emma se donne à son compagnon. " Elle se répétait : " J'ai un amant ! un amant ! " se délectant à cette idée comme à celle d'une autre puberté qui lui serait survenue. Elle allait donc posséder enfin ces joies de l'amour, cette fièvre du bonheur dont elle avait désespéré." Elle rencontre alors Rodolphe tous les jours, dans la forêt, puis elle n'hésite pas à se rendre jusqu'au château de Rodolphe. Ce dernier commence à trouver ces visites imprudentes.

Un jour, lors d'une de ses escapades matinales, Emma rencontre le percepteur Binet. Elle se montre peu convaincante quant à la justification de cette promenade. Toute la journée, elle s'angoisse des commérages que pourrait colporter Binet. Le soir, elle rencontre à nouveau le percepteur chez Homais, le pharmacien. Binet ne peut s'empêcher de faire allusion à leur rencontre matinale. Heureusement les invités ne réagissent pas. C'est donc le soir, sous la tonnelle de leur jardin, ou par temps de pluie dans le cabinet de consultations de son mari, qu'Emma donne maintenant rendez-vous à son amant. Mais Rodolphe commence à s'ennuyer de cette liaison. A l'approche du printemps, Emma, bien que toujours amoureuse de cet amant, éprouve des remords en lisant une lettre naïve et touchante de son père. Elle dresse un bilan amer de son existence et regrette la candeur de son enfance. Elle redécouvre auprès de sa fille la tendresse maternelle et souhaiterait se rapprocher de son mari.

Homais et Emma œuvrent auprès de Charles pour le convaincre d'opérer Hippolyte, le garçon d'écurie du Lion d'Or, de son pied-bot. Charles accepte. L'opération semble un succès et Emma éprouve une tendresse admirative pour son mari. Homais montre aux Bovary l'article qu'il a préparé pour le Fanal de Rouen. Malheureusement des complications surviennent vite, et la jambe du malheureux Hippolyte se gangrène. Il faut faire appel au docteur Canivet, célèbre médecin de Neuchâtel. Il doit procéder à l'amputation de la cuisse. Cet échec anéantit les espoirs professionnels de Charles. La déception est également immense pour Mme Bovary qui se sent humiliée d'avoir fondé en vain des espoirs dans son mari. Ses dernières résolutions vertueuses disparaissent : Emma se détache irrémédiablement de Charles et s'abandonne à nouveau dans les bras de Rodolphe.
Emma s'enflamme de nouveau pour son amant. Elle lui suggére même de tout abandonner pour partir ensemble : "Nous irions vivre ailleurs". Elle offre beaucoup de cadeaux à son amant, et dérobe de l'argent à son mari pour payer ses dettes auprès de Lheureux. Elle met ainsi en péril les finances de son couple. Elle n'hésite plus à s'afficher avec son amant dans un attitude provocante : " Par l'effet seul de ses habitudes amoureuses, madame Bovary changea d'allures. Ses regards devinrent plus hardis, ses discours plus libres ; elle eut même l'inconvenance de se promener avec M. Rodolphe, une cigarette à la bouche, comme pour narguer le monde". Rodolphe, lui, n'est pas à la hauteur de cette passion, il se lasse de sa maîtresse et la traite avec peu de ménagement. Il finit pourtant sur insistance d'Emma par accepter de "l'enlever". Leur fuite est prévue pour début septembre. Charles, lui, rêve encore de beaux projets pour son épouse et sa fille. Tout est prêt pour la fuite des amants. Lheureux une nouvelle fois procure le nécessaire : "un grand manteau et une caisse pas trop lourde...". L'avant-veille du départ, les amants ont rendez-vous au clair de lune. Rodolphe le sait déjà : il ne partira pas avec Emma et sa fille.
Rentré chez lui, Rodolphe écrit une longue lettre de rupture à Emma. Dès les premiers mots, la jeune femme comprend. Effondrée, elle s'enfuit au grenier où, dans un vertige, elle songe à se suicider. Redescendue pour le dîner, elle entend passer le tilbury de Rodolphe qui l'emporte loin de Yonville. Elle perd connaissance. "Une fièvre cérébrale" la cloue au lit pendant plus d'un mois. Charles veille en permanence sur elle, guettant les signes d'un rétablissement. Vers la mi-octobre, elle retrouve peu à peu la santé. Mais Charles l'emmène sous la tonnelle. Cette vision du banc, où elle donnait rendez-vous à son amant, provoque une rechute : " Elle eut un étourdissement, et dès le soir, sa maladie recommença, avec une allure plus incertaine, il est vrai, et des caractères plus complexes. Tantôt elle souffrait au coeur, puis dans la poitrine, dans le cerveau, dans les membres ; il lui survint des vomissements où Charles crut apercevoir les premiers symptômes d'un cancer."
Charles s'est beaucoup endetté pour soigner son épouse et aussi pour honorer les achats qu'elle avait réalisés pour sa fuite avec Rodolphe. Lheureux profite de la situation et se montre de plus en plus menaçant. Charles, trop inquiet du fait de l'état de santé d'Emma pour analyser la situation, lui emprunte de l'argent. Durant sa convalescence, madame Bovary reçoit des visites du curé et retrouve provisoirement la foi. Un jour, Homais, le pharmacien, conseille à Charles d'aller à Rouen avec son épouse écouter un opéra de Donizetti. Dès le lendemain, à huit heures, le couple part pour Rouen.
Les Bovary arrivent très tôt à l'opéra. Ils admirent la salle et le décor. Puis la représentation commence. Emma est subjuguée par le ténor Lagardy. Elle se passionne également pour le spectacle et trouve des similitudes entre le destin de Lucie de Lammemoor et le sien. À l'entracte, Charles, va chercher un rafraîchissement pour sa femme, et rencontre Léon. Le clerc vient saluer Emma dans la loge des Bovary. A la fin de la représentation, il emmène les Bovary au café. Là, Charles suggère à sa femme de rester seule un jour de plus à Rouen pour revoir l'opéra.
parte 4 (copiar a seguir) MADRYaus
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Madame Bovary
Madame Bovary
Ségolène Royal investie par les militants socialistes
Avec une participation historique de 180 558 votants, Ségolène Royal a été investie à la présidentielle par les militants socialistes à une large majorité.Ségolène Royal remporte 108 807 voix soit 60,65 % des suffrages, Dominique Strauss-Kahn obtient 37 118 voix soit 20,69 % des suffrages et Laurent Fabius 33 487 voix soit 18,66 % des suffrages.Télécharger les résultats Voir la vidéo de l'annonce des résultatsLe site de Ségolène Royal
France Soir - Wikipédia
France Soir est un quotidien généraliste français créé en 1944.
Ce journal a été placé en redressement judiciaire à la fin de l'année 2005 et durant le premier trimestre 2006. Au début du mois de février 2006, il s'est illustré en publiant la série de caricatures de Mahomet qui avait valu au journal danois Jyllands-Posten une vive désapprobation du monde musulman. Cette action relança la polémique et entraîna le licenciement du directeur de la publication Jacques Lefranc.
Devant des sénateurs américains, le nouveau secrétaire à la Défense, Robert Gates, s’est montré pessimiste sur l’issue de la guerre et s'est dit ouvert à des nouvelles idées, comme un dialogue avec la Syrie et l'Iran.

A la question «pensez-vous que (les Etats-Unis) sont en train de gagner la guerre en Irak?», le nouveau secrétaire américain de la Défense, Robert Gates, a répondu «Non monsieur», mardi, lors d'un grand oral devant la commission des forces armées du Sénat, préalable à la confirmation de sa nomination. «Ce que nous faisons maintenant (en Irak) n’est pas satisfaisant (…) Le statu quo n’est pas tenable», a ajouté ce proche de la famille Bush.
Pessimiste sur un retrait rapide des troupes américaines, il s’est dit personnellement ouvert «à des idées alternatives sur nos prochaines tactiques et stratégies en Irak», tout en rappelant que le président aurait le dernier mot.
Un nombre de Gi's drastiquement inférieur
«Il me semble que les Etats-Unis vont devoir garder une présence en Irak pendant longtemps», a-t-il ajouté. «Les forces irakiennes n'ont pas de capacités logistiques propres, ni de puissance aérienne (…) Donc (même) si un changement de stratégie auquel nous arriverions avec le président marche, nous allons toujours devoir garder un certain niveau de soutien américain pour les militaires irakiens», a-t-il dit.
Mais, a-t-il précisé, le nombre des militaires américains devant rester en Irak pourrait être «drastiquement inférieur» à ce qu'il est aujourd'hui, autour de 150.000 hommes. «Toutes les options sont sur la table», a-t-il toutefois répété. Selon lui, si rien n’est fait d’ici un ou deux ans, la situation en Irak risque de dégénérer en «confrontation régionale».
Il est également partisan d’ouvrir des discussions avec l’Iran et la Syrie, pour tenter de stabiliser l’Irak, comme devrait le préconiser le rapport de la commission Baker. Interrogé sur la pertinence d’une guerre contre l’Iran ou la Syrie, il a estimé que cette option n’était pas envisageable, sauf en «dernier recours absolu».
Cette déclaration choc intervient la veille de la publication du rapport du Groupe d'études sur l'Irak, dit commission Baker. Ce texte très attendu par la Maison-Blanche pourrait être le prélude à un virage stratégique des Etats-Unis, en Irak.
A l'issue de cette audition, la commission des forces armées du Sénat, puis l'ensemble des 100 sénateurs américains devaient voter pour confirmer ou pas la nomination de Robert Gates au secrétariat à la Défense.
Un avion de Ryanair frôle le crash
lefigaro.fr (avec AFP).
Publié le 05 décembre 2006
Actualisé le 05 décembre 2006 : 16h17
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Un Boeing 737-800 de la compagnie Ryanair. (DR)




Un Boeing 737-800 de la compagnie Ryanair.
(DR).
En complément
Lire le rapport de l'Unité d'enquête sur les accidents aériens irlandaise (PDF)
Les autres titres
Pentagone : "les Etats-Unis ne sont pas en train de gagner la guerre"
Moscou met des bâtons dans les roues de Scotland Yard
Un avion de Ryanair frôle le crash
Réélu, Chavez a les mains libres au Venezuela
Paris et Berlin plaident la cause de Poutine auprès de Varsovie
Les grandes puissances négocient des sanctions contre l'Iran
Coup d’Etat militaire aux îles Fidji
Bataille électorale sanglante au Bangladesh
Bush renonce à prolonger Bolton à l'ONU
Retour Rubrique International
La catastrophe a été évitée de justesse en mars dernier : la compagnie aérienne avait oublié de prévenir les pilotes de l’appareil que les balises avaient été changées de place pour cause de travaux.

23 mars 2006, à l’aéroport de Knock, en Irlande. Un appareil de la compagnie aérienne irlandaise à bas prix Ryanair en provenance de Londres-Gatwick avec 144 personnes à son bord, s’apprête à atterrir.
Selon le rapport publié ensuite par l'Unité d'enquête sur les accidents aériens irlandaise (AAIU), lorsque le Boeing 737-800 ressort de la couche de nuages, les pilotes s'aperçoivent qu'il est à seulement 130 mètres du sol. Ils coupent le pilote automatique et remontent en urgence. La catastrophe est évitée "de justesse", conclut le rapport.
La raison de cette manoeuvre ? Des balises, qui aident les pilotes en cas de mauvaise visibilité, n'étaient pas à leur place habituelle, à cause de travaux. Mais Ryanair, pourtant prévenue depuis six semaines, avait omis de le signaler à ses pilotes ce déplacement temporaire. Les pilotes ont donc programmé une mauvaise information d'atterrissage dans l'ordinateur de bord qui gère le pilote automatique.
Dangereusement près du sol
Résultat : quand, au moment d’atterrir, un contrôleur aérien leur demande de modifier leur approche, les pilotes se trouvent alors "tellement absorbés" par la manipulation de l'ordinateur de bord qu'ils ne réalisent pas qu'ils descendent plus rapidement que la normale et s'approchent dangereusement du sol. L'enquête met finalement en cause le capitaine pour s'être distrait de sa tâche de pilotage, mais surtout Ryanair elle-même pour n'avoir pas donné aux pilotes les informations appropriées, et pour avoir mis "un temps inacceptable" à notifier l'incident.
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La catastrophe a été évitée de justesse en mars dernier : la compagnie aérienne avait oublié de prévenir les pilotes de l’appareil que les balises avaient été changées de place pour cause de travaux.
23 mars 2006, à l’aéroport de Knock, en Irlande. Un appareil de la compagnie aérienne irlandaise à bas prix Ryanair en provenance de Londres-Gatwick avec 144 personnes à son bord, s’apprête à atterrir.
Selon le rapport publié ensuite par l'Unité d'enquête sur les accidents aériens irlandaise (AAIU), lorsque le Boeing 737-800 ressort de la couche de nuages, les pilotes s'aperçoivent qu'il est à seulement 130 mètres du sol. Ils coupent le pilote automatique et remontent en urgence. La catastrophe est évitée "de justesse", conclut le rapport.
La raison de cette manoeuvre ? Des balises, qui aident les pilotes en cas de mauvaise visibilité, n'étaient pas à leur place habituelle, à cause de travaux. Mais Ryanair, pourtant prévenue depuis six semaines, avait omis de le signaler à ses pilotes ce déplacement temporaire. Les pilotes ont donc programmé une mauvaise information d'atterrissage dans l'ordinateur de bord qui gère le pilote automatique.
Dangereusement près du sol
Résultat : quand, au moment d’atterrir, un contrôleur aérien leur demande de modifier leur approche, les pilotes se trouvent alors "tellement absorbés" par la manipulation de l'ordinateur de bord qu'ils ne réalisent pas qu'ils descendent plus rapidement que la normale et s'approchent dangereusement du sol. L'enquête met finalement en cause le capitaine pour s'être distrait de sa tâche de pilotage, mais surtout Ryanair elle-même pour n'avoir pas donné aux pilotes les informations appropriées, et pour avoir mis "un temps inacceptable" à notifier l'incident.
La catastrophe a été évitée de justesse en mars dernier : la compagnie aérienne avait oublié de prévenir les pilotes de l’appareil que les balises avaient été changées de place pour cause de travaux.
23 mars 2006, à l’aéroport de Knock, en Irlande. Un appareil de la compagnie aérienne irlandaise à bas prix Ryanair en provenance de Londres-Gatwick avec 144 personnes à son bord, s’apprête à atterrir.
Selon le rapport publié ensuite par l'Unité d'enquête sur les accidents aériens irlandaise (AAIU), lorsque le Boeing 737-800 ressort de la couche de nuages, les pilotes s'aperçoivent qu'il est à seulement 130 mètres du sol. Ils coupent le pilote automatique et remontent en urgence. La catastrophe est évitée "de justesse", conclut le rapport.
La raison de cette manoeuvre ? Des balises, qui aident les pilotes en cas de mauvaise visibilité, n'étaient pas à leur place habituelle, à cause de travaux. Mais Ryanair, pourtant prévenue depuis six semaines, avait omis de le signaler à ses pilotes ce déplacement temporaire. Les pilotes ont donc programmé une mauvaise information d'atterrissage dans l'ordinateur de bord qui gère le pilote automatique.
Dangereusement près du sol
Résultat : quand, au moment d’atterrir, un contrôleur aérien leur demande de modifier leur approche, les pilotes se trouvent alors "tellement absorbés" par la manipulation de l'ordinateur de bord qu'ils ne réalisent pas qu'ils descendent plus rapidement que la normale et s'approchent dangereusement du sol. L'enquête met finalement en cause le capitaine pour s'être distrait de sa tâche de pilotage, mais surtout Ryanair elle-même pour n'avoir pas donné aux pilotes les informations appropriées, et pour avoir mis "un temps inacceptable" à notifier l'incident.
La catastrophe a été évitée de justesse en mars dernier : la compagnie aérienne avait oublié de prévenir les pilotes de l’appareil que les balises avaient été changées de place pour cause de travaux.
23 mars 2006, à l’aéroport de Knock, en Irlande. Un appareil de la compagnie aérienne irlandaise à bas prix Ryanair en provenance de Londres-Gatwick avec 144 personnes à son bord, s’apprête à atterrir.
Selon le rapport publié ensuite par l'Unité d'enquête sur les accidents aériens irlandaise (AAIU), lorsque le Boeing 737-800 ressort de la couche de nuages, les pilotes s'aperçoivent qu'il est à seulement 130 mètres du sol. Ils coupent le pilote automatique et remontent en urgence. La catastrophe est évitée "de justesse", conclut le rapport.
La raison de cette manoeuvre ? Des balises, qui aident les pilotes en cas de mauvaise visibilité, n'étaient pas à leur place habituelle, à cause de travaux. Mais Ryanair, pourtant prévenue depuis six semaines, avait omis de le signaler à ses pilotes ce déplacement temporaire. Les pilotes ont donc programmé une mauvaise information d'atterrissage dans l'ordinateur de bord qui gère le pilote automatique.
Dangereusement près du sol
Résultat : quand, au moment d’atterrir, un contrôleur aérien leur demande de modifier leur approche, les pilotes se trouvent alors "tellement absorbés" par la manipulation de l'ordinateur de bord qu'ils ne réalisent pas qu'ils descendent plus rapidement que la normale et s'approchent dangereusement du sol. L'enquête met finalement en cause le capitaine pour s'être distrait de sa tâche de pilotage, mais surtout Ryanair elle-même pour n'avoir pas donné aux pilotes les informations appropriées, et pour avoir mis "un temps inacceptable" à notifier l'incident.
La catastrophe a été évitée de justesse en mars dernier : la compagnie aérienne avait oublié de prévenir les pilotes de l’appareil que les balises avaient été changées de place pour cause de travaux.
23 mars 2006, à l’aéroport de Knock, en Irlande. Un appareil de la compagnie aérienne irlandaise à bas prix Ryanair en provenance de Londres-Gatwick avec 144 personnes à son bord, s’apprête à atterrir.
Selon le rapport publié ensuite par l'Unité d'enquête sur les accidents aériens irlandaise (AAIU), lorsque le Boeing 737-800 ressort de la couche de nuages, les pilotes s'aperçoivent qu'il est à seulement 130 mètres du sol. Ils coupent le pilote automatique et remontent en urgence. La catastrophe est évitée "de justesse", conclut le rapport.
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